Ma vie est plutôt banale, mais je vais quand même tenter de vous la conter. C'est un beau jour de mois de naissance que je suis né, le date de naissance 1987, à Athènes. Aujourd'hui, j'ai 24 ans et je suis plutôt une personne enjouée, déterminée, joueur, parfois menteur, pas méchant, protecteur, qui profite bien de l’argent des parents, blagueur, fêtard. J'ai suivi des études de études choisies afin de devenir profession. Dans la vie, l'amour est parfois une chose bien difficile même en étant hétéro sexuelle ; je suis donc célibataire, et j’en profite. Je suis arrivé à Galaxidi depuis dix mois et je trouve le coin plutôt joli et sympathique.

Je vous conseille de lire mon histoire.
► Les parents d’Elias sont riches, extrêmement riches.
► Il a trois grands frères et une petite sœur : Evangelos (32 ans), Gavriil (29 ans), Leonidas (25 ans) et Anastasia-Louhi (22 ans).
► Il est né à Athènes et y a grandi, jusqu’à maintenant. Il vit à Galaxidi depuis dix mois.
► Il a réussi à convaincre ses parents d’emmener son meilleur ami, Iason, avec eux.
► Il a toujours surprotégé sa petite sœur, même si elle n’en a pas franchement besoin. Elle sait se défendre, c’est plutôt d’elle-même qu’il la protège.
► Il n’est pas au courant de la relation Iason-Ania. Il est convaincu que ce dernier considère Ania comme sa propre sœur.
► Il n’est jamais sortit plus de trois mois avec la même fille, il ne veut surtout pas qu’une fille s’attache trop à lui. Il ne recherche pas de relation sérieuse.

« Sérieusement Elias, tu comptes en ramener encore une autre ce soir ? » Mon grand frère posa des yeux plus qu’étonnés sur moi. Il est véritablement doué pour faire penser qu’il ne comprend pas ce qu’on lui dit. « De quoi parles-tu ? » « D’une fille ! Chaque soir y en a une différente ! J’arrive pas à m’endormir, et j’en ai marre de les entendre gémir pendant que tu grognes comme un porc ! » Il éclata soudain de rire, pas le moins du monde gêné de savoir que sa petite sœur sait tout de sa vie sexuelle. « Ania, Ania, Ania… » « Elias, Elias, Elias ? » « Tu sais que tu es la seule femme dans ma vie, après maman cela va de soit. » « Oh vois-tu, je me sens soudain mieux. Tu vas arrêter de ramener tes call-girls ? » « Laisse-moi y réfléchir. » Me dit-il en plaçant sa main sur son menton, l’air songeur. « Non. » Quel goujat ! « Alors va chez elles, s’il te plait ! J’peux pas m’endormir, j’entends TOUT ! » « Ça te fait un apprentissage, retiens. Si tu veux, la prochaine fois je te laisserais regarder. » « QUOI ? Oh toi… ! » M’exclamais-je en serrant les dents, je devins soudain toute rouge : de colère et sûrement la honte d’imaginer mon frère dans l’acte. Il souriait, apparemment fière de lui. Sans attendre, je lui sautais dessus et le martelais de coups. Imaginez donc, moi accrochée tel un koala sur son dos, lui mort de rire et essayant de me faire descendre. « T’es vraiment con ! » Lui criais-je dans les oreilles. Il ne s’arrêtait pas de rire. Je n’ai jamais compris pourquoi chaque fois que je m’énerve après lui, il part dans un tel fou rire que ça dure généralement une bonne vingtaine de minutes. Ça a même le don de m’énerver encore plus, alors il rigole encore et encore… Finalement, il s’est retrouvé à quatre pattes par terre, et moi j’étais toujours sur son dos, m’appuyant de tout mon poids. Niveau corpulence, je ne pèse pas bien lourd. Mais je fais presque la même taille que mon frangin, à trois centimètres près. J’imagine qu’il doit me sentir à force, et que son dos en subit les conséquences. Oh oui, j’vais lui bloquer le dos, comme ça il ne pourra pas coucher ce soir ! « Tu vas souffrir ! » Lui soufflais-je à l’oreille. Ce fut le summum, il s’écroula par terre en pleurant de rire. « Arrête de rigoler !!! Maaaiiiis euuuuh !! » Je me redressais et m’asseyais en tailleur, sur ses fesses, croisant les bras et boudant comme une petite fille. « T’arrêteras jamais de m’éclater Ania ! » Me dit Elias entre deux rires. Finalement, il finit par se calmer un peu. Il me fit glisser par terre pour se redresser. « Bon… c’est d’accord, ce soir je ne ramène personne. Mais c’est bien parce que c’est toi. » Et il me prit dans ses bras.

Entre Elias et moi, ça toujours été ainsi. On se chamaille, on se bagarre, je boude, il rit, il cède à mes caprices, je lui pardonne. Et comme on a que deux ans d’écart, on a toujours été très très proches. Rien ni personne ne pourra jamais nous séparer ! Sauf… ah oui, sauf peut être cette histoire que j’entretiens avec Iason… Mais il n’en sait rien encore, et j’espère qu’il n’en saura jamais rien !

Elias et Iason se connaissent depuis… toujours. C’est ce genre d’amitié où on ne se souvient plus comment on s’est rencontré, ni comment on a commencé à s’entendre, on sait juste que sans l’autre notre vie perd son sens. Elias et Iason c’est ça. Ils sont meilleurs amis, à tel point qu’on irait parfois penser qu’ils sont frères. Copains comme cochons, c’est totalement eux. Ils se disent tout, se racontent tout, absolument tout ! Sauf sur un point, Iason a un secret qu’il compte bien garder pour lui. Si Elias venait à l’apprendre, ce serait probablement la fin de leur amitié… enfin c’est ce qu’on imagine, mais Iason préfère ne pas essayer. Ce serait idiot de perdre un ami aussi inutilement. Ce secret ? Oh, et bien c’est avec Iason qu’Anastasia-Louhi a perdu sa virginité. Mais ce n’est pas tout ! Il est maintenant fréquent qu’ils se retrouvent pour coucher ensembles. Tout cela a commencé quand Ania avait dix huit ans, Iason en avait donc vingt. En principe, ç’aurait du prendre fin lors du déménagement des Nomiki, mais allez savoir comment, Elias s’est débrouillé pour convaincre ses parents d’emmener avec eux son meilleur ami. Et ainsi, le petit secret les a tous suivis… Mais tant qu’Elias ne sait rien, tout va bien. Et puis, il n’a pas besoin de le savoir. Autant Ania que Iason savent tenir leurs langues, comment pourrait-il l’apprendre ? Espérons tout de même que leur amitié est plus forte que tout… !

Aloa mi amor, my futur brother. Bon, on va faire court, pour pas vous n’embêtez trop longtemps avec l’administratif. Je souhaite donc quelqu’un d’actif, qui ne m’abandonnera pas au bout de deux semaines ; logique. Qui sache écrire et respecter le nombre de lignes imposées ; logique. Et qui respecte le français aussi ; logique. En fait, je ne demande rien de plus que la normale. Ah si, point hyper important, que vous êtes forcé de respecter, obligé sinon je vous massacre à coup de taille de crayon : je veux, et vous ne pourrez pas y échapper, que vous vous AMUSIEZ !!! on est d’abord là pour ça, n’est-ce pas ?! Éclatez-vous ! Concernant l’avatar, je vois tellement Sebastian en tant que grand frère taquin que je le trouve juste parfait. Mais vous pouvez toujours me proposer quelqu’un d’autre (tout en respectant l’âge du personnage). De plus, je trouve qu’il y a une légère ressemblance entre Frida & Sebastian (légère j’ai dit !). Et pour le prénom, si vous n’aimez pas vous pouvez changer, un deuxième prénom est tout à fait possible, libre à vous de choisir.

Voilà, je vous attends maintenant. Je ferais un éloge à mon frère !